"Cet instant unique" (J. Green)
6 octobre 1967. - Hier, visité les salles du Louvre où sont exposées, provisoirement, les peintures du XIXe siècle (...). Une toile de Bertin qui m'a fait rêver : on y voit une maison frappée par le soleil couchant, du linge qui sèche sur une corde, de grands arbres, minute merveilleuse qui ne reviendra jamais, il n'y aura plus jamais cela, ce soleil doré sur cette maison, cet instant unique (J. Green, Ce qui reste de jour, Journal 1966-1972 ; O.C., Biblioth. de la Pléiade, 1977, t. 5, p. 440).